René, en consultant ton site, j’ai retrouvé l'émotion (intacte) provoquée par une de tes grandes toiles (la noire au fond à droite, pendant l'expo d'octobre à ton atelier), le souvenir de cet espace ouvert tel un immense paysage crépusculaire à la lumière chiche et pourtant si puissante.<br />
Si certaines de tes œuvres me semblent fonctionner comme des écrans pour nous protéger de l’aveuglement du trop de lumières et d’artifices, d’autres (celle-ci en particulier) creusent et façonnent un monde sensuel fait pour nous les marcheurs solitaires (nos sens nécessairement mis en alerte par l’économie d’informations visuelles).<br />
Bonne Année, J-Claude Artaud